| 15 avril 2016
Récemment, M. CÉSAR, directeur de l'Office de Tourisme de Fleury, mais surtout adjoint de M. MOULY à l'Education, à la Jeunesse et à la Communication, était sur tous les fronts et squattait les gazettes locales.
Dans les couloirs de l'Hôtel de Ville, il avait gagné le surnom de "chouchou du maire"... C'est sans doute ce qui lui a donné des ailes pour se lancer à corps perdu à la conquête de la présidence départementale du parti Les Républicains, bravant sans sanction le soit-disant principe d'apolitisme de Nouveau Narbonne.
Mais la tentative a fait un flop retentissant, renvoyant M. CÉSAR à un anonymat rendu d'autant plus nécessaire en raison de la menace qui planait sur sa tête d'une condamnation pénale pour des violences commises à l'encontre de son supérieur hiérarchique, le Directeur des services de la Ville de Fleury.
Cette sanction vient de tomber : deux mois de prison avec sursis et 500 € d'amende... (lire la presse ci-dessous)
Reste à savoir ce que va en dire M. MOULY ? Sera-t-il prompt à sanctionner son "chouchou" lui dont le bras n'avait pas tremblé lorsqu'il s'est agi de se séparer de son directeur de cabinet, simplement mis en cause, et donc présumé innocent, dans une affaire de carambouille sur de la viande de cheval ?
En attendant, contentons nous d'une certitude :M. CÉSAR donne un exemple à ne pas montrer aux enfants et à la jeunesse...
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6 avril 2016
M. MOULY démontre chaque jour qu'il est prêt à tout pour réaliser sa "grande salle" multimodale et l'on sait déjà que son ambition pharaonique va coûter très cher à la collectivité narbonnaise.
Ce coût, les Narbonnais doivent le connaître et il est du devoir de l'opposition J'Aime Narbonne de le révéler au fur et à mesure que se dévoilent les aberrations de ce projet.
1. LE MASSACRE DU PARC DES SPORTS
La semaine dernière, la presse faisait état de sondages archéologiques préventifs sur l'emprise du Parc des Sports. En effet, c'est bien au milieu de ce poumon vert à l'orée du centre ville que M. MOULY veut implanter sa salle.
Le préjudice pour la collectivité est immense tant il est vrai que ce lieu est cher aux Narbonnais qui y pratiquent le footing ou tout simplement la promenade en famille. Par ce choix, M. MOULY altère la qualité de vie des Narbonnais.
2. LE COÛT PHARAONIQUE
La presse nous indique que cinq groupements formés d'entreprises du BTP et de cabinets d'architecture ont été retenus dans le cadre d'un marché de conception-réalisation lancé par la commune de Narbonne fin décembre 2015.
Tout un chacun peut consulter les détails de ce marché sur lie site du Bulletin officiel des annonces de marchés publics http://www.boamp.fr/avis/detail/15-...
Ce qu'on y lit est édifiant à plusieurs titres.
Il est question d'un coût projeté de 16,8 millions d'euros pour une salle principale (jusqu'à 5 000 places) plus une salle secondaire dite "en configuration handball". Faut-il rappeler que M. MOULY a déjà dépensé près de 900 000 euros pour sa bulle gonflable à l'Espace de Liberté, elle même destinée au handball ? Comprenne qui pourra...
Toujours est-il que les 16,8 millions d'euros annoncés n'incluent pas les travaux d'aménagement du site et les parkings, ce qui implique que la facture atteindra et dépassera certainement les 20 millions d'euros d'investissement.
Dans cette facture, il faudra inclure 500 000 euros pour les seules primes accordées aux cinq groupements candidats admis à présenter un projet, à raison de 100 000 euros par projet. Ces sommes sont d'un niveau très inhabituel dans ce genre de marché et témoignent d'une générosité troublante dans l'emploi de l'argent public. Pour quelle raison ? M. MOULY devra l'expliquer aux Narbonnais.
De la même manière, M. MOULY devra aussi dire aux Narbonnais combien coûtera le fonctionnement, sachant que les ratios ordinaires pour se genre d'équipement placent la barre entre 1,5 et 2 millions d'euros par an... Et tout cela pour une "grande salle multimodale" dont M. MOULY n'est toujours pas capable d'expliquer l'utilité et le but, sinon pour justifier un engagement électoral...
3. L'ABANDON DE PROJETS BIEN PLUS ESSENTIELS ET DES ÉCONOMIES SUR LE DOS DES NARBONNAIS
M. MOULY devra aussi expliquer comment, après avoir ainsi ponctionné le budget de la ville et privé celle-ci de toute marge de manoeuvre, il entend poursuite le nécessaire entretien des nombreux stades, gymnases et autres équipements sportifs de Narbonne.
M. MOULY devra répondre de l'abandon de projets bien plus essentiels pour la collectivité narbonnaise que sont l'école de Montplaisir, le prolongement de l'aménagement des Barques jusqu'au Théâtre, la poursuite de l'aménagement de Narbonne Plage ou le soutien à l'implantation du Musée de la Romanité.
Alors qu'il accorde généreusement 500 000 euros pour rétribuer les candidats à la conception-réalisation de sa grande salle, M. MOULY devra répondre en parallèle des coups de serpe dans l'aide aux associations, des économies de bout de chandelle sur les chocolats des seniors et sur les livres de Noël des enfants des maternelles, mais aussi de la suppression de l'heure gratuite de stationnement aux abonnés de la Médiathèque, et plus généralement sur les errements de la politique culturelle de son adjoint M. PENET.
La "grande salle" de M. MOULY c'est déjà la chronique d'une catastrophe annoncée.
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1er avril 2016
Le vote du budget du Grand Narbonne, jeudi soir, a démontré un nouveau rétrécissement de l'opposition systématique conduite rageusement par Nouveau Narbonne depuis mars 2014.
Ce budget, qui fait état d'une gestion rigoureuse et ambitieuse, avec une maîtrise des dépenses, avec 55 millions d'euros d'investissements et un très faible recours à l'emprunt (lire article ci-contre), a reçu l'approbation de 51 membres du conseil contre seulement 25 votes contre.
Il faut rappeler que cette opposition hétéroclite a compté jusqu'à 31 membres en son sein. Mais à force de diviser, de dénigrer sans cesse et sans raison, et de refuser toute participation au travail collectif du Grand Narbonne, cette opposition a déjà perdu six de ses membres, jusques et y compris dans les rangs de Nouveau Narbonne.
Voilà où mène la politique de la terre brûlée de M. MOULY et de son premier adjoint M. MALQUIER qui, semble-t-il, trouve dans cette opposition stérile au Grand Narbonne, le seul moyen d'exister sur la scène narbonnaise, tant son absence dans les affaires municipales devient manifeste.
Et ce même M. MALQUIER, qui ne participe à rien au Grand Narbonne, a eu le toupet de proposer au président Jacques BASCOU de "travailler ensemble pour penser le territoire dans sa globalité, avec ambition..."
Ce à quoi Jacques BASCOU a répondu du tac au tac : "J'attends depuis deux ans...Vous dites qu'on ne fait rien mais sachez que notre agglo est citée en exemple à l'extérieur. Vos débats partisans ne m'intéressent vraiment pas..." Oui, Nouveau Narbonne s'enferre chaque jours davantage dans la petite politique qui consiste à diviser, dénigrer, brimer et faire que Narbonne, hélas, est en train de se recroqueviller dans un isolement dangereux et préjudiciable pour ses habitants.
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31 mars 2016
Non content d'appliquer la double peine vis-à-vis de l'ensemble des associations narbonnaises (lire le post ci-dessous), Nouveau Narbonne continue de brimer sans vergogne des associations jugées d'utilité publique.
Après l'UFC-Que Choisir ?, virée sans ménagement d'un local que lui avait attribué l'équipe de Jacques BASCOU quelque mois auparavant, c'est au tour de l'association caritative Saint-Vincent-de-Paul d'être éjectée de son local avenue Général Leclerc où elle venait en aide à de nombreuses familles dans le besoin.
L'association est contrainte d'arrêter aujourd'hui son activité et reste en attente d'une solution de relogement.
C'est un fait : Nouveau Narbonne n'aime pas les associations qui luttent contre la précarité, pas plus que les associations culturelles. Oui, vous ne rêvez pas : nous ne sommes pas chez M. MÉNARD, à Béziers, mais bien chez MM. MOULY ET PENET, hélas à Narbonne...
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25 mars 2016
A l'occasion du dernier conseil municipal du 24 mars 2016, la majorité municipale a décidé de faire payer les salles et le mobilier appartenant à la commune à toutes les associations déjà fort pénalisées par les baisses voir suppression de subventions décidées par M. MOULY.
Le groupe j'Aime Narbonne a voté contre cette délibération. Voici l'intervention de son porte parole, Nicolas SAINTE-CLUQUE :
"Comme vous le savez tous, les associations quel que soit leur domaine d’action participent activement à la vie de la Cité, à son dynamisme, son rayonnement et son attractivité. Le monde associatif est porté par des femmes et des hommes bénévoles qui ne comptent ni leur temps ni leur énergie pour permettre à la population de pratiquer du sport, de se cultiver… Ils participent donc à construire du lien social et à se sentir Narbonnais. D’ailleurs, vous le reconnaissez vous-même régulièrement dans les Assemblées générales et vous vantez même, sur le site internet de la Ville, d’être « le premier partenaire des associations narbonnaises ». Malheureusement et comme toujours depuis deux ans maintenant, la réalité de vos déclarations publiques et de vos communicants, ne collent pas à la réalité de votre gestion et de vos actes. En effet, le premier partenaire des associations que vous êtes, a, dès son élection, fait subir une véritable cure d’austérité à nombre d’associations. Certes, vous avez justifié votre décision par une prétendue baisse des dotations de l’Etat. Mais là aussi, la réalité ne colle pas avec vos déclarations publiques puisque vous êtes finalement contraint d'avouer, à l'occasion du vote du budget, que la ville ce Narbonne n'est nullement impactée par une baisse des dotations de l'Etat, bien au contraire ! Aujourd’hui, vous allez voter un texte qui va contraindre les associations narbonnaises, je dis bien narbonnaises, à devoir payer les salles et toutes les prestations qui peuvent s’y rattacher sans donner les explications réelles qui vous poussent à agir dans ce sens. Certes vous allez nous parler de gestion en bon père de famille. Mais cet argument ne résiste pas à l'analyse ! Ce soir, si vous votez ce texte, vous allez condamner les associations de Narbonne et leurs bénévoles à la double peine : - Suppression ou baisse de leurs subventions, - Obligation de payer les salles, les chaises, les tables. Vous poursuivez donc votre politique de mise à mal des associations et cela aura inévitablement des conséquences non négligeables, pour ne pas dire graves pour ces femmes et hommes qui s’investissent sans compter pour le bien être de la population Narbonnaise. Cette approche purement comptable est pour nous un non-sens total pour, au final, quel véritable gain financier ? Le rôle des élus municipaux est de permettre à chaque association de s’exprimer, de s’épanouir et construire ainsi du lien social. Certes il faut un contrôle car il s’agit d’argent public. Nous avions fait le choix de soutenir et accompagner les associations, vous faites malheureusement le choix inverse de les asphyxier. Vous comprendrez dès lors que nous ne puissions voter pour une délibération qui va à l'encontre de l'intérêt du monde associatif."
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25 mars 2016
L'association culturelle A tout bout d'chant vient d'être sommée, par l'avocat de la Ville, de quitter les locaux qu'elle occupe par convention sur la concession portuaire de la Société Nautique.
Signée par l'ancienne équipe dirigeante de la SNN et validée par la Ville en 2013, cette convention prévoit une occupation des locaux jusqu'en avril 2017. Or, depuis l'arrivée de Nouveau Narbonne à la mairie et celle du conseiller municipal NN, M. DÉJEAN, à la tête de la SNN, l'association a subi les foudres de ces nouvelles gouvernances.
Une tentative de conciliation entre A tout bout d'chant et la SNN ayant échoué, l'association estime qu'elle est fondée à occuper les locaux jusqu'au terme de la convention en vigueur, afin de trouver un local de substitution à ses activités culturelles. Face à la décision brutale de la Ville, le Président de l'association, Olivier NUNGE, entend réagir et mobiliser. Il a notamment lancé une pétition sur le site www.atoutboutdechant.com
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Une fois de plus la Ville montre sa brutalité à l'égard d'associations culturelles qui n'ont pas l'heur de lui plaire.
Faut-il rappeler la longue liste des brimades subies par le Festival Sportfolio, par la Biennale de l'Aquarelle, par le Festival Trenet jeté aux oubliettes, mais aussi par un sympathique dessinateur viré des Halles, par les parents des enfants de maternelles privés de livre à Noël, par les lecteurs de la Médiathèque privés de l'heure de parking gratuit offerte depuis toujours ? Faut-il encore rappeler le désengagement de la Ville dans le Musée de la Romanité et les récents déboires de l'Aspirateur qui font planer une menace réelle sur la survie du lieu d'art contemporain ?
Avec M. PENET à la Culture, sous l'égide M. MOULY, c'est le règne de l'inculture qui préside et celui d'un autoritarisme d'un autre âge.
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22 mars 2016
La polémique née entre la municipalité de M. MOULY et le photographe Louis Jammes pose la seule et vraie question qui vaille : quel avenir pour l'Aspirateur, le lieu d'art contemporain de Narbonne créé par l'équipe de Jacques BASCOU qui avait su fédérer autour de ce projet ?
Cette question a été posée ce matin dans
les pages culturelles régionales du Midi Libre. On attend que M. MOULY et son adjoint à la Culture M. PENET y répondent, eux qui ont décidé de clore la parole après avoir fermé l'Aspirateur la semaine dernière.
Un silence qui ne dit rien de bon pour la suite.
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23 février 2016
M. MOULY a remis la semaine dernière des médailles aux employés municipaux.
Question : M. MOULY a-il prévu une décoration pour les victimes de la "chasse aux sorcières" qui frappe l'hôtel de ville depuis mars 2014 ?
Elle pourrait être remise à titre posthume et porter cette mention :
"Tombé au champ du déshonneur de Nouveau Narbonne". Lire la suite |
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23 février 2016
Tout dernièrement, la presse de Narbonne dressait le constat d'un désintérêt pour Charles Trenet de sa ville natale, alors que le Fou chantant est célébré partout et reste le neuvième personnage français le plus célèbre dans le Monde...
Interrogé, notamment sur la fréquentation de la Maison Trenet, l'adjoint à la
Culture, Yves PENET, a fait une réponse en forme d'aveu de désintérêt : "Les gens visitent la maison par curiosité. En fait ce qui intéresse le public c'est la Narbonne antique et médiévale." Après avoir abandonné le Festival Trenet, qui rayonnait sur tous les grands médias français et jusqu'à l'étranger (le Japon notamment est fou de Trenet), la municipalité Nouveau Narbonne est en train de négliger le patrimoine lié au géant de la chanson française.
Mais le plus extraordinaire dans la "pensée" de M. PENET c'est qu'il affirme l'importance de la Romanité pour le tourisme alors que son patron M. MOULY et lui-même viennent de priver Narbonne de toute implication dans la gestion du futur Musée régional de la Narbonne antique...
Au final M. PENET montre aux Narbonnais qu'il se désintéresse tout autant de la Romanité que de Trenet. Une politique des plus dangereuses pour le tourisme et l'économie.
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19 février 2016
S'opposer pour s'opposer et cela au mépris des intérêts des administrés... C'est l'attitude déplorable adoptée par Nouveau Narbonne au conseil d'agglomération du Grand Narbonne.
Jeudi soir, les élus de Nouveau Narbonne ont voté contre la désignation des représentants du Grand Narbonne au sein du comité de pilotage qui doit gérer les fonds européens attribués dans le cadre des Approches territoriales intégrées (ATI).
En l'occurrence il s'agit du volet urbain de cette ATI qui concerne pour Narbonne rien de moins que la création d'une maison de quartier dans le Bourg, une maison pluridisciplinaire à St Jean/St Pierre, la revitalisation du pôle commercial de Razimbaud et des liaisons cyclables. Au total, ces projets mobiliseront 1,3 millions d'euros de subventions européennes.
Est-ce l'attitude d'élus responsables que de s'opposer à des projets d'intérêt général ?
MAIS À QUEL CAPITAINE PENSE M. MALQUIER
QUAND IL IRONISE ?
19 février 2016
M. MALQUIER, premier adjoint de
M. MOULY, omniprésent au début du mandat mais devenu quasiment invisible depuis quelques mois, réserve ses seules apparitions et interventions au Conseil commu- nautaire du Grand Narbonne.
Jeudi soir, il a choisi le ton de l'ironie pour commenter le projet de budget du Grand Narbonne pour 2016 ("A vous entendre tout va bien. Le bateau flotte et le capitaine est là !") sans apporter de critique sérieuse sur la gestion de l'agglomération.
En effet, les orientations budgétaires présentées par la vice-présidente aux finances, Viviane DURAND, indiquent que le Grand Narbonne est un bateau aux structures saines (dépenses et fiscalité maîtrisées) piloté par le capitaine Jacques BASCOU qui donne un cap (priorité à l'investissement dans un but de développement économique du territoire).
En revanche, on n'est pas interdit de penser que l'intervention de M. MALQUIER s'adressait par ricochet à celui qui dirige la barque de la mairie, M. MOULY lui-même.
M. MALQUIER est en effet dans la position inconfortable du second qui assiste en silence et impuissant aux décisions autoritaires et irréfléchies de ce capitaine sans boussole et sans objectif sinon celui d'une obsédante île miraculeuse : la grande salle à 20 millions...
M. MALQUIER croyait être un vice-capitaine fort de prérogatives, mais il en est réduit à constater la mise par dessus bord de quelques membres d'équipage (MM. JULES et ORRIT), et se demander : "A qui le tour ?"
Oui, la mairie de Narbonne est un petit remake de la célèbre Odyssée de la Bounty dans laquelle M. MALQUIER est dans la peau du Fletcher Christian qui ronge son frein.
Ira-t-il jusqu'à la mutinerie ?
OUI ! J'AIME NARBONNE A POSÉ LA BONNE QUESTION
CONCERNANT M. MALQUIER
22 février 2016
Après le conseil communautaire du Grand Narbonne de jeudi dernier et
l'intervention ironique de M. MALQUIER sur la conduite du Grand Narbonne, J'Aime Narbonne avait posé une question légitime sur le positionnement du Premier adjoint de M. MOULY, promu au rang de vice-maire en mars 2014, omniprésent pendant les premiers mois du mandat et désormais absent et silencieux sur la scène municipale. La réponse est arrivée dimanche sous la forme d'un communiqué d'une virulence inouïe au terme duquel M. MALQUIER jure de son "indéfectible soutien" à M. MOULY et de "sa fierté de travailler" avec lui. Quand on a besoin de clamer si haut et fort sa fidélité et sa fierté, c'est bien qu'elles ne coulent pas de source. Oui ! J'Aime Narbonne a posé la bonne question concernant les relations entre M. MALQUIER et M. MOULY, et plus largement sur les dissensions évidentes qui agitent Nouveau Narbonne. Lire la suite |
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| 24 janvier 2016
« Narbonne au cœur des possibles »... Bricolé en toute hâte, à la place d’un « esprit d’ouverture » inaccessible à la municipalité Nouveau Narbonne, ce slogan voudrait suggérer que ces « possibles » parlent de lendemains qui chantent.
Or, parmi tous les « possibles », il y a le pire ! Et cette possibilité semble hélas la plus probable après presque deux ans de règne de M. MOULY à la tête de la ville. Force est en effet de constater que le contenu du conseil municipal de jeudi soir (28 janvier) a démontré l’approximation des choix de M. MOULY et le danger qu’ils représentent pour les administrés narbonnais. Quelques exemples :
1. Interrogés sur le coût de fonctionnement de la structure gonflable installée près de l’Espace de Liberté ni M. MOULY ni son adjointe à l’urbanisme n’a pu en évaluer le coût de fonctionnement (dépenses énergétiques) indiquant benoîtement qu'il convenait d'attendre un an d'usage pour le connaître.
2. M. MOULY a écourté autoritairement le débat sur les orientations budgétaires de l’année 2016, au cours duquel Marc ORTIZ, conseiller de J’Aime Narbonne, pointait un grand nombre d’incohérences, notamment sur le montant des reports d’investissements. Si ce débat avait eu lieu, l’opposition aurait pu souligner la dangereuse augmentation de la dette qui attend les contribuables narbonnais, ceci pour satisfaire au caprice de la « grande salle » de M. MOULY, lequel a été forcé de reconnaître que la ville de Narbonne n'était pas touchée par une baisse des dotations de l'État.
3. A propos d’une installation photovoltaïque sur le parking de la Maison des Services à St Jean-St Pierre par un prestataire privé, sur interrogation de Nicolas SAINTE-CLUQUE, M. MOULY est encore une fois incapable de donner des précisions sur l'évaluation des subsides qui reviendront en contrepartie à la ville et fait cette réponse incroyable : « On verra plus tard ! ». Plus grave encore, sur interrogation de Catherine BOSSIS, il reconnaît ne pas avoir consulté les habitants limitrophes et le conseil de quartier de Saint Jean Saint Pierre avant que d'envisager une telle installation.
Pour les Narbonnais c’est tout vu : ils constatent hélas que cette mairie est un bateau à la dérive, avec un pilote sans boussole et un équipage inexpérimenté, ou à tout le moins dérouté par les décisions irréfléchies de ce capitaine.
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24 janvier 2016
J'Aime Narbonne a sa maison. Ainsi que nous l'avions annoncé depuis quelques mois, le siège de l'association et du groupe des élus de J'Aime Narbonne est une réalité qui s'inscrit dans le paysage de la ville, au 18 avenue Pierre-Sémard.
Les très nombreux Narbonnais qui se sont joints à nous, samedi 23 janvier, ont pu constater la force du travail militant qui a permis d'aménager de manière séduisante et fonctionnelle cet ancien local commercial. L'investissement des bénévoles a été naturellement souligné par les orateurs de cette inauguration, le président Jacques BAILLAT, le secrétaire général Guillaume MASSON, le porte-parole du groupe Nicolas SAINTE-CLUQUE et le président d'honneur Jacques BASCOU.
De fortes paroles ont été prononcées à cette occasion, pour rappeler les objectifs et la philosophie de J'Aime Narbonne, son engagement au service de Narbonne et de ses habitants, dans la continuation de "l'esprit d'ouverture".
Jacques BASCOU, dans un discours très noble et responsable, a notamment insisté sur l'obligation de rassembler les Narbonnais et de reconstruire autour d'un projet. Conditions qui feront que l'échec de mars 2014 "sera un épisode qu'on oubliera vite". (lire la presse ci-contre).
Nicolas SAINTE-CLUQUE a porté le même message et souligné combien cette "responsabilité collective" était nécessaire afin d'être en mesure, demain, de redonner à Narbonne un vrai projet d'avenir construit avec et pour les Narbonnaises et les Narbonnais.
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21 janvier 2016
Jean-Marie ORRIT, conseiller municipal Nouveau Narbonne, vient de se voir privé de toutes ses délégations pour avoir commis un crime de lèse-apolitisme en se présentant aux élections régionales sur la liste de M. SAUREL, le maire de Montpellier (lire l'extrait de presse ci-joint). Les arguments présentés par M. MOULY sont de la plus parfaite mauvaise foi et d'une hypocrisie absolue quand on se souvient que ce même M. MOULY avait fait des pieds et des mains pour être candidat à ces régionales, comme tête de liste de Les Républicains. Souvenons-nous du ballet tragicomique du mois de juin dernier : il n'était pas candidat le 8, il l'était formellement le 13 et ne l'était plus le 17... Pour finalement se faire damer le pion par M. PY, maire de Leucate.
Faut-il en conclure que s'il avait été candidat, il se serait démis de ses délégations de maire ?
Par ailleurs, M. MOULY sanctionne M. ORRIT mais tolère en même temps que son adjoint M. CÉSAR brigue des responsabilités éminentes au sein du parti de droite Les Républicains. C'est l'apolitisme à géométrie variable... ce qui en langage commun s'appelle "le bal des faux-culs".
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19 janvier 2016
Au siège de Nouveau Narbonne, M. MOULY a dévoilé avant-hier son unique projet : "On marquera Bascou à la culotte"... Programme assorti d'un sous-projet : "Empêcher Bascou d'avoir du ventre et des charentaises..." (voir ci-contre). L'élégance et la profondeur de ces propos n'aura pas échappé aux Narbonnais, pas plus que la hauteur de vue et le sens des priorités de celui qui est censé conduire la politique de la Ville dans des temps difficiles et troublés.
Mais trêve d'ironie ! Hélas la triste réalité est bien là, devant les yeux des Narbonnais. Chaque jour qui passe démontre que le maire n'est pas à la hauteur de la mission qui lui incombe.
Qu'a-t-il fait depuis mars 2014 ? De la poudre aux yeux, du "pétassage" de rues, de basses polémiques de comptoir, de la concertation de façade masquant un réel mépris des citoyens. Et aussi des décisions à l'emporte pièce comme la valse hésitation de Sportfolio, l'arrêt du Festival Trenet et de la biennale de l'aquarelle. Et encore des coups de mentons, avec la "chasse aux sorcières en mairie", le tour de vis aux associations. Et toujours des coups tordus pour sanctionner un restaurant à La Nautique, éteindre la lumière sur la stèle d'un ancien maire à Narbonne-Plage et même pour s'en prendre à un dessinateur au centre des Halles. Enfin, M. MOULY n'oublie pas les coups de pouce aux amis (telle la large subvention à un club de foot qu'il a jadis présidé) et à lui-même (déplacement à grands frais d'un arrêt de bus devant son cabinet professionnel)...
Cette liste très incomplète, c'est le triste bilan de M. MOULY depuis bientôt deux ans. Le seul mérite que l'on puisse lui reconnaître est d'avoir inauguré ou maintenu (souvent avec mauvaise humeur et mauvaise foi) les nombreux projets d'intérêt public lancés par l'équipe de Jacques BASCOU (deux crèches, le centre multiculturel de Narbonne-Plage, quartier de la caserne Montmorency, etc). Mais il a néanmoins stoppé l'indispensable projet d'école à Montplaisir, et s'est dernièrement désengagé du fonctionnement du Musée de la Romanité.
Oui M. MOULY n'a aucun vision de la ville de demain car M. MOULY est dominé par une obsession : c'est la grande salle multimodale, aussi coûteuse qu'inutile, qu'il veut réaliser coûte que coûte sans même être capable de nous dire à ce jour où elle se situera exactement.
Il est probable que M. MOULY souffre d'une autre obsession devant les compétences, la maîtrise, le sens de l'intérêt général, du dialogue et de l'ouverture de Jacques BASCOU. Bien incapable de se hisser à ce niveau et de donner à Narbonne tout le rôle qui lui revient au sein de la Communauté d'agglomération, M. MOULY invective, menace, injurie et se complet dans des phrases au ras des pâquerettes. Cette attitude ne déconsidère que M. MOULY lui-même. Cependant, parce qu'il est le maire, elle donne une mauvaise image de Narbonne.
Mais peut-être, aussi, avec le peu de sens politique que son entourage s'échine à lui inculquer, M. MOULY essaie-t-il, par ses propos outranciers, d'endiguer un début de désintégration du groupe Nouveau Narbonne ? Cela est hautement probable...
Jacques Bascoufait la seule réponsequi vaille aux attaquesgrossièresde M. Mouly
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16 janvier 2016
La presse rapporte ce matin la cérémonie des voeux au personnel municipal et met l'accent sur le discours très étrange de la Directrice générale des services qui résume sa mission à celle d'un conducteur d'autobus... On verra en lisant le compte rendu de la presse (ci-contre) avec quelle délicatesse et quel sens de l'à propos cette fonctionnaire considère le personnel municipal, particulièrement ceux dont la place est celle des valises dans le coffre de l'autobus.
Mais la Directrice aurait pu pousser sa métaphore jusqu'au bout et évoquer, dans le sillage de ce bus cahoteux, la charrette des condamnés dans laquelle ont pris place, depuis mars 2014, les très nombreux agents qui ont subi la "chasse aux sorcières", et ceci malgré les promesses de campagne de M. MOULY...
VOEUX MUNICIPAUX (SUITE) :
APRÈS LA "MÉTAPHORE DE L'AUTOBUS",
LES MARRONS CHAUDS D'UN PALE MATAMORE
17 janvier 2016 La période des voeux semble avoir déchaîné le génie créatif et le sens de l'innovation chez Nouveau Narbonne et M. MOULY. Aie ! Ainsi, jeudi soir, le personnel municipal s'est vu infliger la désormais célèbre et inoubliable "métaphore de l'autobus", prétendant faire le tri entre les "phares qui éclairent la voie" et les "valises" qui encombrent le coffre à bagages (lire ci-dessus).
Hier, la population (enfin quelques dizaines de personnes tout au plus) a participé à une cérémonie de voeux qui se voulait inédite et novatrice mais qui sombra dans le pathétique à l'image du fade discours de M. MOULY et de ce famélique "arbre aux souhaits" illustrant, sous le vernis d'une fausse proximité, le manque d'idées, d'ambition et de vision de cette municipalité.
Heureusement, les quelques courageux qui s'étaient risqués sur la Place de la Mairie ont pu se réchauffer aux sons d'un orchestre avec quelques marrons chauds.
Après avoir réduit les chocolats de fin d'année des seniors mais aussi supprimé les livres aux enfants des maternelles, M. MOULY distribue maintenant des marrons chauds. Rassurons les Narbonnais : nul n'y a vu la moindre métaphore, mais plutôt la triste prestation d'un pale matamore.
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16 janvier 2016
Après l'annonce de la candidature de M. CÉSAR au poste de Président départemental du parti Les Républicains dans l'Aude, la réaction de M. PY, maire de Leucate et secrétaire départemental de LR (lire ci-contre), est somme toute très logique. Il appelle toute la droite narbonnaise, Nouveau Narbonne en tête, à s'assumer en tant que telle plutôt que de continuer de se cacher sous le masque de l'apolitisme auquel s'accroche désespérément M. MOULY.
On attend donc toujours avec un grand intérêt de savoir ce que M. MOULY, Président de Nouveau Narbonne, pense de l'engagement politique de son adjoint M. CÉSAR...
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12 janvier 2016
En fin de semaine dernière, la presse et les réseaux sociaux ont relaté l'expulsion du dessinateur Denis CARRIÈRE des Halles par deux vigiles dont un agent municipal.
On aurait pu penser et espérer que l'autorité municipale aurait apporté à ce fait divers une réponse de bon sens et pleine de retenue.
Or, c'est par la voix de M. MOULY en personne que cette réponse est exposée aujourd'hui dans la presse. Et l'on repassera pour le bon sens et la retenue !
Empruntant un ton martial, qui pourrait laisser entendre que le dessinateur Denis CARRIÈRE est responsable de "débordements ponctuellement observés dans l'enceinte des Halles", M. MOULY exige que désormais un permis soit requis pour être autorisé à croquer des scènes de la vie quotidienne dans les Halles.
On reste pantois devant une telle autorité, avec cette double interrogation : faut-il en rire ou en pleurer ?
En rire certainement car le ridicule de la situation réclame une réponse sur le mode de l'humour, ce soit en prose, en vers ou en dessins...
En pleurer aussi, car c'est encore une fois l'image de Narbonne qui est ternie par des décisions impulsives d'un maire qui par ailleurs cultive une proximité de façade avec les Narbonnais, pour mieux les mépriser et réinstaller un mauvais esprit partisan et clanique. M. MOULY, bien incapable de se couler dans "l'esprit d'ouverture" qui fut celui de l'équipe de Jacques BASCOU, voudrait que Narbonne soit "Au coeur des possibles". Malheureusement, le pire fait partie de ces possibles. Nous y sommes !
Oui c'est à pleurer.
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